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Une enquête de Pièces et main d'œuvre sur GEG hier et aujourd'hui, sur l'électrification des Alpes et les méthodes des ingénieurs et des pouvoirs publics pour nous faire consommer toujours plus d'électricité.
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Nous avons reçu le témoignage de Laury et Frédéric, habitants de Saint-Blaise du Buis (Pays voironnais), dont le disjoncteur a pris feu le 29 avril 2019, trois mois après la pose du Linky.
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Un texte contre Linky, la 5G et la tyrannie technologique adressé aux Verts par les collectifs Nantes1 anti-Linky / 44 contre Linky/ Résistance 5G Nantes.
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Voici une excellente nouvelle : La société GEG a jeté l’éponge et n’a pas fourni les documents complémentaires nécessaires ni demandé de délai à la DDT de Savoie. Le projet du Nant Bénin (NB : à Peisey Nancroix) est donc considéré comme refusé ! Bravo à l’association Nant Sauvage, que nous soutenons depuis le début de son combat. Sa présidente, Isabelle Desse, a déclaré « Nous venons de franchir un premier pas important et de prouver à l’administration que nous avions des arguments solides ».
Mais le projet du Ponthurin, aussi porté par GEG, continue et ce malgré l’avis défavorable de l’Agence Française pour la Biodiversité.Information tirée du site http://www.sosloirevivante.org/
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Un article du magazine Capital.
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Nous avons reçu des photos de compteurs posés par GEG dans le quartier Berriat/Europole il y a cinq ans, "à titre expérimental". Regardez bien : il s'agit de Linky sans le capot vert.
votre commentaire -
Alors que GEG a commencé la pose de ses propres capteurs communicants (électricité et gaz) à Grenoble (voir ici), le collectif Grenoble Anti-Linky tiendra trois permanences d'information pour les Grenoblois, à la Maison des Associations (6 rue Berthe-de-Boissieux) :
- le 14 mars de 17h à 19h (salle 112)
- le 3 avril de 17h à 19h (salle 210)
- le 16 mai de 17h à 19h (salle 210)
Pour en savoir plus sur le déploiement des compteurs à Grenoble et sur les moyens de les refuser, venez nous rencontrer lors de ces permanences.
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GEG et sa filiale GreenAlp ont commencé l'installation, en toute discrétion, de leurs capteurs communicants (électricité et gaz) à Grenoble. Le président de GEG, le Vert Vincent Fristot, est l'adjoint au maire de Grenoble. Ecologistes, le maire Eric Piolle et son adjoint ? Non, technologistes.
Comme Linky et Gazpar, les capteurs de GEG pillent en temps réel nos données de consommation et connectent nos foyers à la « ville intelligente » (smart city). Une ville automatisée que les décideurs nous imposent sous prétexte de préserver la planète et sans égards pour la santé. Refuser ces compteurs, c’est s’opposer à la déshumanisation de nos vies.
Voici le tract que Grenoble Anti-Linky diffuse à partir d'aujourd'hui dans Grenoble à des milliers d'exemplaires.
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Jacques habite Saint-Egrève et vient de recevoir le courrier d'Enedis prévenant de la pose de Linky.
Voici sa réponse.
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Une vidéo de Grenoble Anti-Linky pour Noël.
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Tract distribué lors de la conférence sur l'intelligence artificielle organisée par la MAIF et l'université de Grenoble le 11 octobre 2918.
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Jeudi 11 octobre 2018, la MAIF, « assureur militant », nous convie à une « conférence-expérience » sur l’intelligence artificielle, dans une salle de spectacle aux portes de Grenoble.
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Philippe habite à Saint-Martin d'Hères. En mars 2018, son compteur de gaz a été remplacé à son insu par un capteur communicant, Gazpar. Il raconte.
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A ceux qui s’interrogent sur l’opposition à Linky, Gazpar et autres capteurs communicants, Enedis vient d’en confirmer l’ampleur en lançant le 1er octobre un pseudo « débat participatif Linky ».
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Communiqué du collectif anti-Linky 13 (30 août 2018).
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Article du Dauphiné Libéré (19/07/2018)
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Une tribune de José Mercier, maire de Bovel (35), publiée sur le site du Huffington Post le 14 juin 2018.
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Nous avons trouvé dans Creuse-Citron, journal libertaire de la Creuse (n°56), cet article du collectif Stop-Linky 23, qui nous paraît résumer au mieux la ligne de force de la contestation de Linky. En particulier l'idée qu'il faut non pas gérer les nuisances environnementales et électromagnétiques, mais les supprimer à la racine, en supprimant "la société cybernétique, qui est le nouveau stade de la société industrielle et technologique."
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Nous avons rencontré Sophie lors d'une manifestation contre Linky à Grenoble. Elle avait fait une exception, pour elle, rester plus d'une heure en ville est devenu impossible. Electrohypersensible, Sophie parle clairement et posément de sa situation. Nous lui avons suggéré de raconter son histoire, elle a fait mieux que ça : elle a enquêté sur l'industrie de la téléphonie mobile et sur les collusions entre celle-ci et les "autorités sanitaires" chargées de rédiger les recommandations. Jugez vous-mêmes.
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